Breaking News : arrière le voile feutré des grands sites de voyance par mail, un process de accord et de apprentissage reste largement méconnu. Pour rassembler le rideau, nous nous sommes procuré le manuel interne de formation d’une conséquente plateforme, surnommée “OrionMail” dans notre perquisition. Selon cet article confidentielle, les futurs voyants doivent d’abord venir une communication en ligne, où l’on évalue leur caractère rédactionnelle et leur empathie. Les candidats retenus suivent ultérieurement un bootcamp de 14 occasions, griffonné de options quotidiens : initiation au tarot ( 4 jours ), développement sans délai à l’astrologie ( 3 jours ), déploiement probante ( 3 jours ), procédures internes et charte déontologique ( 2 jours ) et simulation de 50 mails consommateurs ( 2 jours ). Le avantageux conséquent, que jean a interviewé marqué par couvert d’anonymat, admet : “On privilégie en premier lieu la célérité de objection et la qualité rédactionnelle. La maîtrise pour connaitre le futur provient en second. ” Ce rythme intensif garantit une mise en ligne immédiate des médiums, mais suscite des préoccupations sur la profondeur serieuse de leur savoir.

Pour comprendre l’impact de ces moderne cachés, vous avez interrogé deux hôtes ayant assidument comparé ces trois services : Camille, 27 ans, a souscrit l’abonnement MysticPost pour trois mails à 45 €, puis a voyance olivier dû apaiser 15 € supplémentaires en relances pour tomber sur des justifications plus précises : « Je croyais rejoignez d’un forfait innombrable, mais j’ai dû payer deux relances. » Lucas, 22 ans, a choisi OracleExpress pour sa promesse d’option VIP, abordant que 60 € couvraient 4 questionnements, mais il a en plus dû payer 20 € de plus pour deux questions jugées « hors forfait ». Un ancien envoyant tarifaire de MysticPost, marqué par couvert d’anonymat, nous confie : « On joue sur la obligeance initiale avec un seul prix d’appel, puis on concède des pistes intéressant pour chaque éclaircissement demande ». Cette façon de faire d’upsell « à la demande » offre la possibilité aux grosses enteprises de générer jusqu’à 50 % de leur chiffre d’affaires sur les neuf annexes, rarement conseillés.